* Contribuer par la recherche à l’amélioration de la santé des populations;

* Contribuer à la formation par la recherche en santé;

* Participer à la diffusion de l'information scientifique et technique en matière de santé;

* Valoriser les résultats de la recherche ;

* Contribuer à la définition des politiques de médicaments;

* Contribuer à la définition des politiques de médicaments;

* Valoriser la pharmacopée et la médecine traditionnelles, et mettre à la porté des populations, les produits issus des résultats des recherches;

* Contribuer à l'hygiène de l'environnement;

* Contribuer à l’amélioration de l'organisation et la gestion des systèmes de santé.

* Recherche - Expertise - Enseignement

*

* Direction Régionale du Centre Ouest à Nanoro

Il est chargé :

* de veiller à la mise en œuvre des recommandations et suggestions des organes de gestion ;

* de planifier et contrôler l’exécution des activités de l’Institut ;

* d’examiner et valider les stratégies de partenariat avec le secteur privé, les universités et les centres de recherche.

Ils constituent des cadres de concertations, de présentation des résultats de recherche, de l’Institut, et d’échanges d’informations entre chercheurs, spécialistes de santé, responsables administratifs et politiques, représentants des ONGs.

L'IRSS a signé un accord de partenariat avec l'Université de Paris pour renforcer la collaboration dans le domaine de la recherche biomédicale. Ce partenariat permettra aux chercheurs des deux institutions de partager leurs ressources et leurs connaissances pour accélérer les progrès scientifiques.

Elle est l’instance de programmation. Elle a pour objectif de valider les programmes et rapports d’activités sur le plan scientifique.

il a pour rôle :

de veiller à la bonne gestion administrative, matérielle et financière de la Direction régionale ;

* de veiller à la gestion des activités des unités de production ;

* d’assister le Directeur Régional dans la planification de l'animation scientifique du de la Direction régionale et la formation continue du personnel.

L’IRSS est placée sous l’autorité d’un Directeur. Il est assisté d’un Directeur Adjoint en relation avec les chefs de département.

Photo : Direction régionale de l’Ouest à Bobo-Dioulasso

L’institut dispose d’une direction régionale de l’Ouest à Bobo-Dioulasso, d’une Direction Régionale du Centre Ouest à Nanoro et d’un site de recherche à Kaya. La direction comprend les services suivants : le secrétariat particulier ; le secrétariat administratif ; le secrétariat administratif et financier ; le service de développement des ressources humaines ; la régie d’avance et la régie de recettes ; le service d’appui technique ; le service de production.

Les services rattachés au Directeur Adjoint sont :

le Service de Liaison Recherche Développement ; le Service des Études et Suivi-Évaluation ; le Service de l’Information Scientifique, Technique et de la Communication.

Photo : Organigramme-IRSS

* Contribuer par la recherche à l’amélioration de la santé des populations;

* Contribuer à la formation par la recherche en santé;

* Participer à la diffusion de l'information scientifique et technique en matière de santé;

* Valoriser les résultats de la recherche ;

* Contribuer à la définition des politiques de médicaments;

* Contribuer à la définition des politiques de médicaments;

* Valoriser la pharmacopée et la médecine traditionnelles, et mettre à la porté des populations, les produits issus des résultats des recherches;

* Contribuer à l'hygiène de l'environnement;

* Contribuer à l’amélioration de l'organisation et la gestion des systèmes de santé.

Recherche - Expertise - Enseignement

Direction Régionale du Centre Ouest à Nanoro

Il est chargé :

* de veiller à la mise en œuvre des recommandations et suggestions des organes de gestion ;

* de planifier et contrôler l’exécution des activités de l’Institut ;

* d’examiner et valider les stratégies de partenariat avec le secteur privé, les universités et les centres de recherche.

Ils constituent des cadres de concertations, de présentation des résultats de recherche, de l’Institut, et d’échanges d’informations entre chercheurs, spécialistes de santé, responsables administratifs et politiques, représentants des ONGs.

L'IRSS a signé un accord de partenariat avec l'Université de Paris pour renforcer la collaboration dans le domaine de la recherche biomédicale. Ce partenariat permettra aux chercheurs des deux institutions de partager leurs ressources et leurs connaissances pour accélérer les progrès scientifiques.

Elle est l’instance de programmation. Elle a pour objectif de valider les programmes et rapports d’activités sur le plan scientifique.

il a pour rôle :

de veiller à la bonne gestion administrative, matérielle et financière de la Direction régionale ;

* de veiller à la gestion des activités des unités de production ;

* d’assister le Directeur Régional dans la planification de l'animation scientifique du de la Direction régionale et la formation continue du personnel.

L’IRSS est placée sous l’autorité d’un Directeur. Il est assisté d’un Directeur Adjoint en relation avec les chefs de département.

Photo : Direction régionale de l’Ouest à Bobo-Dioulasso

L’institut dispose d’une direction régionale de l’Ouest à Bobo-Dioulasso, d’une Direction Régionale du Centre Ouest à Nanoro et d’un site de recherche à Kaya. La direction comprend les services suivants : le secrétariat particulier ; le secrétariat administratif ; le secrétariat administratif et financier ; le service de développement des ressources humaines ; la régie d’avance et la régie de recettes ; le service d’appui technique ; le service de production.

Les services rattachés au Directeur Adjoint sont :

le Service de Liaison Recherche Développement ; le Service des Études et Suivi-Évaluation ; le Service de l’Information Scientifique, Technique et de la Communication.

Photo : Organigramme-IRSS

Il est chargé de développer la recherche dans le domaine de la bioclinique, de la nutrition, de l’épidémiologie, des politiques et systèmes de santé. Il est composé des unités suivantes :

* Unité paludisme et maladies tropicales négligées (UPMTN) ;

* Unité VIH et santé de la reproduction (UVSR) ;

* Unité nutrition et maladies métaboliques (UNMM) ;

* Unité Maladies à potentiel épidémique, maladies émergentes et zoonoses (UMEMEZ) ;

* Unité environnement et santé (UES) ;

* Unité systèmes de santé (USS) ;

La recherche se fait à travers la mise en œuvre de programmes qui peuvent comprendre chacun un ou plusieurs projets de recherche. Les projets sont choisis en prenant en compte les résultats obtenus au cours du plan triennal et des nouveaux besoins de recherche identifiés. Un vaste travail de réflexion est mené au sein de l’institut en vue d’atteindre les objectifs de thèmes de recherche et partant de ceux du plan dans un bon rapport de coût-efficacité

Les programmes de recherche sont axés sur les thématiques suivantes : les pathologies parasitaires ; les maladies à potentielles épidémiques ; les maladies émergentes et zoonoses ; le VIH-SIDA et la santé de la reproduction ; les systèmes de santé ; les médecines traditionnelles ; l’environnement, les changements climatiques et santé ; les pathologies métaboliques, nutritionnelles et héréditaires ; les pathologies cancéreuses ; les plantes médicinales et la pharmacopée traditionnelles, le médicament.

Photo: Chaine HPLC

Les chercheurs de l’IRSS participent à

* l’enseignement et l’encadrement des étudiants des Universités publiques et privées du Burkina et des structures de formation en santé telle que l’Ecole Nationale de Santé Publique (ENSP) ;

* la réalisation des travaux de fin de formation d’étudiants et de stagiaires (thèses et mémoires).

Dans le cadre des missions qui lui sont dévolues, l’IRSS a mis en place un programme de formation continue en faveur des chercheurs, des médecins, pharmaciens, du personnel biomédical et des TPS. Les différents modules de formations proposés sont : méthodologie de la recherche ; analyse de données médicales : niveaux débutant et avancé.

L’IRSS, de par son potentiel scientifique assure des prestations de service au profit des structures de l’Etat, du ministère de la santé, des ONGs et des partenaires au développement.

Présentation

Le Département Médecine Traditionnelle, Pharmacopée et Pharmacie (MEPHATRA/Ph) est l’un des deux départements de l’Institut de Recherche en Sciences de la Santé (IRSS). Le principal objectif visé par le est de contribuer à la valoriser de la pharmacopée et de la médecine traditionnelle par la mise à disposition des populations des produits issus des résultats de la recherches.

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Missions

* Développer la Recherche en Médecine Traditionnelle et Pharmacie

* Valoriser l’utilisation traditionnelle des recettes et plantes médicinales par la mise au point de phytomédicaments efficaces et à la portée des populations

* Contribuer à la rationalisation de la thérapeutique médicamenteuse

* Réaliser des recherches sur les nuisances (écotoxicologie, sécurité et santé au travail, drogues et toxicomanies)

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Unités de recherche

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* Unité de Chimie Appliquée (UCA) (chef : YODA Jule)

elle a pour mission de faire l’extraction, l’isolement et la caractérisation des molécules bioactives des plantes médicinales ; hémi-synthèses et synthèse des biomolécules isolées ; contrôle qualité et standardisation des formulations de phytomédicaments

.

* Unité de Biologie Appliquée (UBA) (chef : NITIÈMA Mathieu)

elle mène des travaux de recherches précliniques nécessaires au développement de phytomédicaments. Elle est chargée de mener des travaux de recherche conduisant à la mise en évidence de l’innocuité et des propriétés pharmacologiques des substances naturelles, notamment des plantes utilisées en médecine traditionnelle

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* Unité de Technologie Pharmaceutique : (chef : TRAORÉ Sidiki)

elle est chargée de mener des recherches en formulation galénique et élaboration de procédé de fabrication à partir des résultats d’intérêt issus des UCA et UBA afin de proposer des prototypes de formes pharmaceutiques stables.

En plus de ces trois principales unités de recherche, le département dispose de cinq (5) autres unités qui ont pour objectif d’appuyer la recherche et d’offrir des expertises diverses. Ce sont :

* Unité de production pharmaceutique (U-PHARMA) ; (chef : OUEDRAOGO Salfo) ;

* Unité d’extraction semi-industrielle de substances végétales ;

*Unité de production d’animaux de laboratoire ;

* Atelier de soufflage de verre ;

* Parcelle expérimentale de culture de plantes médicinales.

Un seul laboratoire a été proposé au sein du METRAPHA/PH. Il s’agit du Laboratoire de Recherche-Développement de Phytomédicaments et Médicaments (LR-D/PM).

Il est chargé de développer la recherche dans le domaine de la bioclinique, de la nutrition, de l’épidémiologie, des politiques et systèmes de santé. Il est composé des unités suivantes :

* Unité paludisme et maladies tropicales négligées (UPMTN) ;

* Unité VIH et santé de la reproduction (UVSR) ;

* Unité nutrition et maladies métaboliques (UNMM) ;

* Unité Maladies à potentiel épidémique, maladies émergentes et zoonoses (UMEMEZ) ;

* Unité environnement et santé (UES) ;

* Unité systèmes de santé (USS) ;

Recherche

La recherche se fait à travers la mise en œuvre de programmes qui peuvent comprendre chacun un ou plusieurs projets de recherche. Les projets sont choisis en prenant en compte les résultats obtenus au cours du plan triennal et des nouveaux besoins de recherche identifiés. Un vaste travail de réflexion est mené au sein de l’institut en vue d’atteindre les objectifs de thèmes de recherche et partant de ceux du plan dans un bon rapport de coût-efficacité

Les programmes de recherche sont axés sur les thématiques suivantes : les pathologies parasitaires ; les maladies à potentielles épidémiques ; les maladies émergentes et zoonoses ; le VIH-SIDA et la santé de la reproduction ; les systèmes de santé ; les médecines traditionnelles ; l’environnement, les changements climatiques et santé ; les pathologies métaboliques, nutritionnelles et héréditaires ; les pathologies cancéreuses ; les plantes médicinales et la pharmacopée traditionnelles, le médicament.

Photo: Chaine HPLC

Formation

Les chercheurs de l’IRSS participent à

* l’enseignement et l’encadrement des étudiants des Universités publiques et privées du Burkina et des structures de formation en santé telle que l’Ecole Nationale de Santé Publique (ENSP) ;

* la réalisation des travaux de fin de formation d’étudiants et de stagiaires (thèses et mémoires).

Dans le cadre des missions qui lui sont dévolues, l’IRSS a mis en place un programme de formation continue en faveur des chercheurs, des médecins, pharmaciens, du personnel biomédical et des TPS. Les différents modules de formations proposés sont : méthodologie de la recherche ; analyse de données médicales : niveaux débutant et avancé.

Expertise

L’IRSS, de par son potentiel scientifique assure des prestations de service au profit des structures de l’Etat, du ministère de la santé, des ONGs et des partenaires au développement.

Présentation

Le Département Médecine Traditionnelle, Pharmacopée et Pharmacie (MEPHATRA/Ph) est l’un des deux départements de l’Institut de Recherche en Sciences de la Santé (IRSS). Le principal objectif visé par le est de contribuer à la valoriser de la pharmacopée et de la médecine traditionnelle par la mise à disposition des populations des produits issus des résultats de la recherches.

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Missions

* Développer la Recherche en Médecine Traditionnelle et Pharmacie

* Valoriser l’utilisation traditionnelle des recettes et plantes médicinales par la mise au point de phytomédicaments efficaces et à la portée des populations

* Contribuer à la rationalisation de la thérapeutique médicamenteuse

* Réaliser des recherches sur les nuisances (écotoxicologie, sécurité et santé au travail, drogues et toxicomanies)

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Unités de recherche

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* Unité de Chimie Appliquée (UCA) (chef : YODA Jule)

elle a pour mission de faire l’extraction, l’isolement et la caractérisation des molécules bioactives des plantes médicinales ; hémi-synthèses et synthèse des biomolécules isolées ; contrôle qualité et standardisation des formulations de phytomédicaments

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* Unité de Biologie Appliquée (UBA) (chef : NITIÈMA Mathieu)

elle mène des travaux de recherches précliniques nécessaires au développement de phytomédicaments. Elle est chargée de mener des travaux de recherche conduisant à la mise en évidence de l’innocuité et des propriétés pharmacologiques des substances naturelles, notamment des plantes utilisées en médecine traditionnelle

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* Unité de Technologie Pharmaceutique : (chef : TRAORÉ Sidiki)

elle est chargée de mener des recherches en formulation galénique et élaboration de procédé de fabrication à partir des résultats d’intérêt issus des UCA et UBA afin de proposer des prototypes de formes pharmaceutiques stables.

En plus de ces trois principales unités de recherche, le département dispose de cinq (5) autres unités qui ont pour objectif d’appuyer la recherche et d’offrir des expertises diverses. Ce sont :

* Unité de production pharmaceutique (U-PHARMA) ; (chef : OUEDRAOGO Salfo) ;

* Unité d’extraction semi-industrielle de substances végétales ;

*Unité de production d’animaux de laboratoire ;

* Atelier de soufflage de verre ;

* Parcelle expérimentale de culture de plantes médicinales.

Un seul laboratoire a été proposé au sein du METRAPHA/PH. Il s’agit du Laboratoire de Recherche-Développement de Phytomédicaments et Médicaments (LR-D/PM).

THEMATIQUES DE RECHERCHE

AXE 3 : Mise en œuvre des programmes de recherche centrés sur les priorités de développement

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Objectif stratégique 3.3 : Mettre en œuvre un programme de recherche sur le mode de vie et la santé de la population (IRSS)

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Effet attendu 3.3.1 : Le programme de recherche sur le paludisme et les maladies tropicales négligées est conduit (IRSS/BIOMED-SP/URCN/UPMTN)

Ce programme vise a mettre au point des méthodes préventives et curatives efficaces et efficientes contre le paludisme et les maladies tropicales négligées (la dengue, la fièvre jaune, la filariose lymphatique, l’onchocercose, etc.). Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche dans la lutte contre le paludisme et les maladies tropicales négligées de dix-huit (18) en 2024 à vingt-sept (27 =18+9) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) surveillance épidémiologique et génomique du paludisme et autres maladies à transmission vectorielle ; (ii) développement de nouveaux outils dans la lutte contre le paludisme (médicaments, vaccins, moustiques transgéniques, phytomédicaments, etc.) ; (iii) élaboration de nouveaux schémas d’intervention pour l’élimination du paludisme et les MTN à l’horizon 2030.

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Effet attendu 3.3.2. : Le programme de recherche sur le VIH/SIDA, la Tuberculose, les Hépatites virales et autres maladies sexuellement transmissibles est réalisé (IRSS/BIOMED-SP/UVSR)

Des méthodes et stratégies efficaces et efficientes contre l’infection à VIH/SIDA, la tuberculose, les hépatites virales et autres maladies sexuellement transmissibles seront mise au point. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche dans la lutte contre le VIH/SIDA, la Tuberculose, les Hépatites virales et autres maladies sexuellement transmissibles de trois (03) en 2024 à six (06 =3+3) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) recherche sur la prévention du VIH, de la tuberculose, et des hépatites virales et IST ; (ii) prise en charge du VIH/sida, de la tuberculose et des hépatites virales (efficacité des médicaments et phytomédicaments); (iii) résistance aux ARVs et antituberculeux ; (iv) acceptabilité/adhésion et observance des nouvelles directives de l’OMS (Prophylaxie préexposition PrEP).

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Effet attendu 3.3.3 : Le programme de recherche sur les maladies à potentiel épidémique, émergentes et les zoonoses est conduit (IRSS/BIOMED-SP/UMEMEZ)

Des données probantes sur les méthodes curatives et préventives contre les maladies à potentiel épidémique, émergentes et les zoonoses seront produites. Il s’agira de porter le nombre technologies et résultats de recherche sur les méthodes curatives et préventives efficaces contre les maladies à potentiel épidémique, émergentes et les zoonoses de sept (07) en 2024 à dix (10) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) surveillance épidémiologique, microbiologique et génomique des maladies à potentiel épidémique, émergentes et zoonoses (rage, grippes, COVID-19 et autres maladies respiratoires et zoonotiques) ; (ii) caractérisation de souches pour le développement des vaccins contre les maladies à potentiel épidémique, émergentes et des zoonoses ; (iii) contribution au développement de techniques innovantes de détection précoces, efficace et financièrement accessibles.

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Effet attendu 3.3.4. : Le programme de recherche sur la persistance de la malnutrition globale, sur les carences en micronutriments et sur l’émergence de maladies métaboliques est conduit (IRSS/BIOMED-SP/UNMM)

Des données probantes sur la malnutrition globale, les carences en micronutriments et les maladies métaboliques seront produites. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche sur la persistance de la malnutrition globale, sur les carences en micronutriments et sur l’émergences de maladies métaboliques, de 29 en 2024 à 44 (29+15) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) études épidémiologiques sur les carences nutritionnelles et des maladies chroniques liées à la nutrition dans les différents groupes cibles de la population; (ii) étude des facteurs de risque des maladies non transmissibles (cancers, maladies métaboliques et génétiques, etc.); (iii) étude des stratégies de prévention, de diagnostic, de traitement et de suivi des carences nutritionnelles et des maladies chroniques non transmissibles liées à la nutrition ; (iv) évaluation des pratiques alimentaires et de l’éducation nutritionnelle au sein des populations ; (v) fortification des aliments en micronutriments (voir avec l’IRSAT); (vi) formulations d'aliments, d’alicaments et de produits enrichis.

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Effet attendu 3.3.5 : Le programme de recherche sur la santé de la reproduction, la santé de la mère et de l’enfant est réalisée (IRSS/BIOMED-SP/UVSR/USD)

Ce programme vise a produire des méthodes et des stratégies probantes pour l'amélioration de la santé de la reproduction, la réduction de la mortalité maternelle et infantile afin d’orienter les politiques en la matière. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche sur la santé de la reproduction, la santé de la mère et de l’enfant de 09 en 2024 à treize (13) (13 = 9+4) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) évaluation des stratégies d’amélioration de la santé de la mère et de l’enfant ; (ii) description de la mortalité maternelle et infanto-juvénile ; (iii) études sur la santé sexuelle et reproductive chez les personnes déplacées internes ; (iv) étude sur les cancers féminins.

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Effet attendu 3.3.6 : Le programme de recherche sur la toxicologie et l’écotoxicologie est conduit (IRSS/MEPHATRA-Ph/UBA)

Des données probantes sur l’ampleur et les effets des toxicomanies, des risques liés aux pesticides, aux déchets miniers, aux polluants environnementaux sur la santé et l’environnement et des données sur les envenimations seront produites. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche de quatorze (14) en 2024 à vingt-un (21 =14+7) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) évaluation de l’impact des pesticides, des produits de traitement et déchets miniers sur l’environnement et la santé en lien avec l’émergence de certaines pathologies (cancers, malformations, etc.) ; (ii) évaluation de l’ampleur et de l’impact des toxicomanies ; (iii) évaluation des effets des particules en suspension dans l’air sur la santé et le bien-être des populations (iv) évaluation de la sécurité sanitaire des aliments en lien avec les contaminants naturels et chimiques ; (v) études sur les envenimations.

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Effet attendu 3.3.7 : L’épidémiologie des cancers et les prédispositions génétiques aux maladies sont mieux connues (IRSS/BIOMED-SP/UVSR)

Des données probantes sur l’épidémiologie des cancers et les prédispositions génétiques aux maladies seront produites. Il s’agira de porter le nombre de techniques/technologies/résultats de recherche sur des cancers et les prédispositions génétiques aux maladies de zéro (0) en 2024 à trois (3) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) évaluation de l’ampleur des cancers attribuables aux modes et à l’environnement de vie ; (ii) évaluation des facteurs de risque des cancers, attribuables aux modes et environnement de vie ; (iii) identification des facteurs de prédispositions génétiques/épigénétique des cancers et autres maladies.

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Effet attendu 3.3.8 : Le programme de recherche sur les changements climatiques et la santé est conduit (IRSS/BIOMED-SP/UES)

Ce programme vise a produire des données probantes sur l’ampleur des changements climatiques et leurs effets sur la santé et le bien-être des populations. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche sur les changements climatiques et la santé respectivement de trois (03) en 2024 à six (6) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) étude de la dynamique de transmission des maladies en lien avec les changements climatiques ; (ii) exploration des interactions hôtes-pathogènes-environnement et la résistance aux médicaments.

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Objectif stratégique 3.4: Mettre en œuvre un programme de recherche sur la qualité des systèmes de santé

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Effet attendu 3.4.1 : Le programme de recherche sur la qualité des systèmes de santé est conduit (IRSS/BIOMED-SP/USS)

Des données probantes sur l’offre et de la qualité des soins, de l’accessibilité et de l’utilisation des services de santé seront fournis au système de santé. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche sur l’offre de soins, la qualité des soins, l’accessibilité et l’utilisation des services de santé de vingt-trois (23) en 2024 à trente-quatre (34) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) développement d’études sur la qualité de l’offre de soins ; (ii) évaluations des politiques et stratégies de santé en contexte de chocs ; (iii) la production de données probantes sur l’offre des soins pour les personnes de 3ème âge ; (iv) élaboration de travaux portant sur les innovations et leurs intégrations dans le système de santé.

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Effet attendu 3.4.2 : Le programme de recherche sur la connaissance de la qualité des produits de santé est conduit (IRSS/MEPHATRA-Ph/UTP et IRSS/BIOMED-SP/USS)

Des données probantes sur la qualité des produits de santé seront produites. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche sur la qualité des produits de santé de zéro (0) en 2024 à deux (02) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) évaluation de la qualité des produits de santé figurant sur la liste nationale des médicaments essentiels ; (ii) approche socio-anthropologique de l’utilisation des produits de santé en milieu non hospitalier.

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Objectif stratégique 3.5 : Mettre en œuvre un programme de recherche sur la médecine traditionnelle et ses produits

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Effet attendu 3.5.1 : Le programme de recherche sur la médecine traditionnelle est réalisé (IRSS/MEPHATRA-Ph/UBA/UCA/UTP/UPHARMA)

Le programme vise a améliorer la valorisation de la médecine traditionnelle. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche sur la médecine traditionnelle de onze (11) en 2024 à seize (16) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont (i) Approche ethnobotanique et les savoirs traditionnels en lien avec la santé ; (ii) Exploration des propriétés thérapeutiques des plantes et des recettes médicinales ; (iii) Promotion de pratiques durables de conservation et de préservation de la biodiversité de plantes médicinales.

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Effet attendu 3.5.2 : Le programme de recherche sur les phytomédicaments et autres produits de la médecine traditionnelle est réalisé (IRSS/MEPHATRA-Ph/UBA/UCA/UTP/UPHARMA)

Des phytomédicaments et autres produits de la médecine traditionnelle accessibles aux populations seront mise au point. Il s’agira de porter le nombre de technologies et résultats de recherche sur les phytomédicaments de quatorze (14) en 2024 à vingt et un (21) en 2029. Les actions à mettre en œuvre pour l’atteinte de cet indicateur sont : (i) Exploration des propriétés thérapeutiques de produits de la médecine traditionnelle ; (ii) Formulations de prototypes de phytomédicaments.